Le mélange des cultures est depuis longtemps inscrit dans l’ADN de Freeman T. Porter. Durant la Seconde Guerre Mondiale, un GI quitte son Missouri natal avec ses frères d’armes pour libérer l’Europe du joug nazi. Le soldat tombe amoureux d’une Allemande qui lui donne un fils. Un demi-siècle plus tard, en 1993, ce fils crée une marque de prêt-à-porter à laquelle il insuffle sa double culture et l’héritage reçu de son père, ce héros. Conscient de ce qu’il doit à l’auteur de ses jours, l’homme baptise son entreprise du nom de ce dernier. C’est ainsi que la marque Freeman T. Porter voir le jour et finit par s’installer – on est cosmopolite ou on ne l’est pas – de l’autre côté de la frontière franco-allemande, en Moselle. Dès ses débuts tournée vers la «vraie vie », la marque est d’abord imprégnée du dress-code militaire avant de suivre naturellement les évolutions de la société avec des styles branchés sur l'esprit campus, le street art, le workwear...